Longtemps, j’ai associé le bonheur à des moments de plaisir éphémère. Comme bon nombre d’entre nous, j’imagine. J’avais une équation simple : des moments pour le travail, d’autres pour les loisirs, durant lesquels je profitais enfin.
J’ai continué ce chemin du pardon, et aujourd’hui je me sens prêt. La force des mots qui suivent, c’est qu’ils sont posés avec le coeur. Leur fragilité, c’est qu’ils auraient aimé aussi être entendus en retour.
Au moment où la lumière de la compréhension illuminera nos esprits, nos âmes intérieures se lèveront en une ovation silencieuse.
Au-delà du travail quotidien sur ma confiance en moi et mon déconditionnement des diktats sociétaux, j’ai également trouvé une astuce simple pour corriger le tir, même si quelques ajustements me manquent encore pour que ce soit optimal.
Cette nuit, on a retrouvé notre chat, Echo, à l’endroit exact où j’avais sauvé le petit Paco quelques mois plus tôt. Sidéré, éteint, la mâchoire en sang, les yeux fermés, comme mort.
Nos relations ne seront que rarement plus saines que notre estime de soi.
C’est la phrase que je retiendrai d’aujourd’hui, suite à laquelle j’ai versé ma petite larme. C’est une émotion qui vibre en moi intensément chaque jour, qui me porte et m’accompagne.
Le premier jour s’est décomposé en trois temps, dont les deux premiers furent au … Lire plus
C’est incroyable tout ce que l’on peut accomplir quand on change de perspective.