Mon couple, notre équipe

Il m’aura fallut 15 ans et 6 relations amoureuses différentes pour comprendre que l’amour véritable n’était pas un jeu de possession, mais une question d’appartenance.

La liberté, mon meilleur ennemi

Ma liberté, je l’ai désirée d’abord totale. Par excès. Et c’est certainement en résonnance à mes peurs de ne plus exister dans la relation à deux que j’ai créé chez mes partenaires passées le besoin viscéral de me posséder pour être sûr que je n’allais jamais les quitter.

Je pensais aimer, mais au fond je voulais juste qu’on m’aime.

Il y avait toujours cet amour passionnel parfait en début de relation, là où les deux cœurs se mélangeaient et tout semblait idyllique.

Petit à petit, les deux parties acceptaient de moins en moins les compromis, parce que chacun avait le cœur qui pleurait. L’un comme l’autre avait l’impression de disparaître à petit feu au dépend de l’autre.

Chaque compromis était perçu comme un mini sacrifice qui provoquait toujours un retour de flamme.

Systématiquement, je me suis enfuis le premier.

On m’a souvent reproché de rechercher à tort la relation idéale et parfaite qui n’existe pas.

Aujourd’hui c’est la première chose que je veux graver dans le marbre sur mon site : je l’ai trouvée, ma relation idéale. Elle n’est qu’Amour.

Avec Aurore, tout est différent.

Elle est et restera à jamais la première femme m’ayant démontré qu’on peut cohabiter plus de quatre années ensemble en s’aimant chaque jour un peu plus, dans le respect et l’amour de l’autre, sans jamais se juger, toujours en cherchant à se comprendre mutuellement et à communiquer.

Si demain elle décidait de me quitter, je lui dirais simplement Merci.

Notre amour, malgré tous les obstacles, persiste, se renforce et grandit. Notre couple incarne pour moi la possibilité d’un amour véritable, authentique et durable. Notre complicité est une danse délicate et joyeuse, une chorégraphie intuitive qui se révèle à chaque soirée, à chaque occasion. C’est une aisance naturelle qui s’exprime dans chaque geste, chaque sourire partagé, chaque échange de regards.

Les moments de fragilités existent, et ils sont acceptés. Je dirais même plus, ils sont accueillis.

Je sais qu’elle vibre de tout son cœur la volonté de me voir heureux.
Elle sait que je vibre de tout mon cœur la volonté de la voir heureuse.

Chaque fois qu’un quiproquo provoque une blessure chez l’un ou chez l’autre, il n’y a jamais de culpabilisation. Chacun est prêt à prendre ses responsabilités, à assumer ses erreurs, afin de tout faire pour que cela ne se reproduise pas.

Notre but n’est plus de conserver à tout prix notre liberté. Notre but est devenu notre bonheur réciproque. Quand elle est heureuse, je m’aime mieux. Quand je suis heureux, elle s’aime mieux.

Sachant qu’elle ne me jugera jamais, elle me l’a prouvé, j’ai tout à gagner à grandir de mes erreurs pour profiter encore plus de son amour infini.
Sachant que je ne la jugerai jamais, je lui ai prouvé, elle a tout à gagner à grandir de ses erreurs pour profiter encore plus de mon amour infini.

On ne se contente plus de rêver de ce qu’on aurait pu être, on prends juste ce qu’on est, ce qu’on s’aime, et ce qu’on sera comme un cadeau de la vie.

Je suis libre dans notre cadre

Respecter le rythme de celui qui a besoin de plus de lenteur, quelque soit le contexte.

Confier à l’autre immédiatement toute sensation de déséquilibre quel que soit le domaine.

Se motiver mutuellement se faire des échanges de séances HUNKAAR régulièrement.

Garder notre soirée spéciale du dimanche soir autant que possible.