Le bonheur, parlons-en

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"Je sais qui je suis quand je me sens à ma place dans ce que je fais."

Je m’aventure sur le fil du bonheur, cette énigme aux couleurs changeantes, aussi personnelle qu’insaisissable. C’est une mélodie discrète, qui résonne différemment en chaque âme, et qui se fait parfois si ténue qu’on la croirait disparue.

Pourtant, si malgré le sombre qui habille son regard, un être revendique nager dans le bonheur, qui serais-je pour affirmer qu’il se trompe ? Il n’y a que l’authenticité qui puisse valider le bonheur. Aucun symptôme, aucune action et même aucun critère ne le pourrait davantage.

Au cours de ma quête, j’ai discerné deux profils humains distincts dans leur quête du bonheur. Il y a ceux qui, tels des plongeurs dans les eaux sombres de leurs émotions, cherchent à redonner vie à leur corps par une reconnexion émotionnelle progressive. Et puis, il y a ceux qui, sculpteurs d’actions et de réalisations, aspirent à redonner corps à leur vie en se libérant des entraves émotionnelles pour réaliser leurs rêves les plus ambitieux.

Est-ce qu’une de ces deux directions détient une vérité supérieure à l’autre ? J’oserais dire non. Pourrait-on envisager une symbiose, un équilibre presque utopique entre les deux ? C’est une possibilité qui m’éveille. Et c’est dans ce croisement des chemins que réside la clé de mon bonheur. Je le sens. Je le sais.

Au nom du bonheur intérieur.

Ressentir.

Vibrer.

Laisser le cœur jouer sa symphonie silencieuse dans le grand concert de la vie.

Au nom du bonheur extérieur.

Agir.

Se libérer.

Devenir le sculpteur de son existence, l’artisan de sa réalité.

Dans quelle direction votre boussole vous pousse-t-elle ?

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