Bienveillance Emotionnelle

J’ai continué ce chemin du pardon, et aujourd’hui je me sens prêt. La force des mots qui suivent, c’est qu’ils sont posés avec le coeur. Leur fragilité, c’est qu’ils auraient aimé aussi être entendus en retour.

Au-delà du travail quotidien sur ma confiance en moi et mon déconditionnement des diktats sociétaux, j’ai également trouvé une astuce simple pour corriger le tir, même si quelques ajustements me manquent encore pour que ce soit optimal.

C’est incroyable tout ce que l’on peut accomplir quand on change de perspective.

La souffrance, ce nuage sombre qui dissimule le soleil de la bienveillance, qui nous empêche de voir, de comprendre, de s’ouvrir avec justesse. C’est la source de notre mal-être et de nos guerres.

Cette vidéo m’a énormément touché. Je vous la recommande vivement. Les sous-titres sont disponibles en français si vous n’êtes pas anglophone.

Cette publication aujourd’hui a pour objectif de m’ancrer un peu plus profondément encore que la souffrance n’est pas mon ennemie.

Hier, malgré toutes les bonnes raisons de me ménager après un week-end éprouvant, je me suis laissé happer par une torpeur paralysante. Blotti derrière l’écran, j’ai laissé filer les heures à jouer, désertant ma responsabilité quotidienne de cliquer sur publier.

Le mythe que nous nous racontons tous, c’est qu’il n’y a pas assez de temps pour prendre soin de nous correctement. Physiquement, spirituellement, et dans l’ennui aussi.

Il y a largement assez de temps.

Comme si chaque action du quotidien ou chaque petit plaisir immédiat se faisait au détriment du corps qui perd peu à peu de sa bonne santé.